domingo, 3 de junio de 2007

París, de la Comuna a Chirac y el derrumbe.

¿Quien duda sobre el progresismo de la Ciudad Luz?
Sin embargo, desde 1977 siempre fue mayoría la Droite, inclusive en el 2001.
En esta fecha fue elegido el Socialista Delanoe, ante la división encarnizada de la derecha.

"Au soir du second tour le 18 mars 2001, Bertrand Delanoë est élu maire de Paris avec un peu plus de 49,59% des voix, contre 50,37% à la droite divisée (33,97% pour les listes Seguin, 15,20% pour les listes Tiberi et 2,85% pour des listes divers droites).
Ce sont les IXe, XIIe et XIVe arrondissements qui lui ouvrent les portes de la municipalité parisienne quand il est avéré que le candidat de gauche bénéficie de plus de voix d'avance sur celui de droite".

"La victoire de la gauche aux élections municipales de 2001 a été notamment expliquée par les divisions exacerbées au sein de la droite parisienne, majoritaire à Paris depuis cent ans et quiont conduite à présenter deux listes concurrentes dans chaque arrondissement.
l'

Ce serait donc grâce à cette conjoncture exceptionnelle d'une droite fracturée et d'une gaucheunie que Delanoë aurait gagné.

L'image négative véhiculée par des affaires politico-financières, dans lesquelles Jean Tiberi etplusieurs autres membres de la majorité municipale étaient alors soupçonnés d'avoir participé, aurait également profité aux listes de la gauche.

Plusieurs journaux (L'Express, Le Figaro, Le Point, Le Monde, Le Nouvel Observateur) ont en outre partiellement expliqué la victoire de Delanoë par le vote d'une nouvelle catégorie socialesurnommée « bobos » ( Bourgeois-bohème), qui aurait fait la différence en faisant basculer à gauche certains arrondissements « traditionnellement » de droite (IIe, IVe, IXe et XIIe)

Selon les mêmes journaux, la victoire de Bertrand Delanoë est également attribuée à la marge à la mobilisation de la communauté homosexuelle parisienne".


Cualquier parecido a lo sucedido en Buenos Aires, es pura casualidad.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bertrand_Delano%C3%AB